Cette nuit j' ai rêvé de Jeanne Moreau.
Dans mon rêve, Jeanne Moreau et moi étions amies. A un moment nous nous promenions sur des plages du Portugal en bavardant. Elle me disait qu' elle envisageait de partir définitivement vers un pays très lointain et me demandait de la suivre, mais je refusais et nous nous sommes un peu disputées parce qu' elle insistait trop pour que je l' accompagne dans son voyage vers un pays qui ne me plaisait pas, et que moi je voulais rester au Portugal. Je lui disais que je voulais finir ma vie dans le pays où je suis née.
A un autre moment de ce rêve, nous étions toutes les deux en présence de mon plus jeune fils, qui avait-dans mon rêve- l' âge qu' il avait la dernière fois que je l' ai vu il y de six ans. C' était très chouette: rires, jeux et câlins.
Jeanne Moreau me regardait jouer avec mon fils et se réjouissait de nous voir heureux.
Puis, toujours dans mon rêve, je me suis assoupie, épuisée par les jeux. Lorsque je me suis réveillée, mon fils n' était plus là. Il avait laissé une grande feuille de papier sur laquelle il avait écrit au feutre et en très grandes lettres colorées, trois fois le mot: "MERCI".
A un autre moment, je me réveillais très tard dans l' après-midi après avoir fait la fête avec l' actrice et quelques-uns de ses amis chez moi. Tout le monde était parti, je n' avais aucun souvenir de la fête de la veille, mais mon logement était dans un désordre indescriptible, et moi j' étais complètement hagarde. J' étais en train de me demander comment nous avions réussi à faire autant de désordre et de saleté en une soirée et pourquoi je ne me souvenais pas de ce qui s' était passé pendant cette fête, lorsque quelqu' un a frappé à la porte. Je n' ai pas osé ouvrir, parce que j' avais honte du désordre et de la saleté qui régnaient chez moi et parce que je ne voulais pas me montrer dans l' état où j' étais moi-même: choquée par le spectacle que je venais de découvrir et n' ayant pas encore pris mon médicament... je me suis alors emparée de ma boite de médicaments, et je me suis aperçue avec horreur qu' elle était vide ! Catastrophe ! Mais comment est-ce possible ??? La veille j' avais deux boites d' avance en plus de ma boite entamée et là, plus un seul comprimé dans la boite et plus aucune boite dans le tiroir de réserve ! Le premier comprimé de la journée m' est absolument indispensable, que vais-je devenir ? Et on continuait à frapper à la porte ! Qui cela pouvait-il bien être ?
Oufff... mon réveil a sonné, me libérant de ce rêve étrange et angoissant !
vendredi 17 avril 2009
mercredi 15 avril 2009
dimanche 12 avril 2009
Alain nous a quittés
Bonjour,
Vous le savez peut-être déjà... moi qui n' étais plus en contact privé avec lui depuis pas mal de temps et qui n' allais plus sur certains forums, je viens juste de l' apprendre par un message posté par son frère sur son blog que je ne visitais plus depuis mon déménagement: Alain, alias Fitzz est décédé le lundi 16 mars 2009.
Dire ce que je ressens est inutile.
Et hier, c' était son anniversaire.
Vous le savez peut-être déjà... moi qui n' étais plus en contact privé avec lui depuis pas mal de temps et qui n' allais plus sur certains forums, je viens juste de l' apprendre par un message posté par son frère sur son blog que je ne visitais plus depuis mon déménagement: Alain, alias Fitzz est décédé le lundi 16 mars 2009.
Dire ce que je ressens est inutile.
Et hier, c' était son anniversaire.
Quelques citations
Admire la personne qui te critique, car prisonnière de sa propre jalousie, elle ne fait que t'admirer.
Auteur ?
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Chez l'homme, c'est le papillon qui devient un ver.
Henry de Montherlant
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Amicum laedere ne joco quidem licet. Même par jeu, il n'est pas permis d'offenser un ami.
Publius Syrus
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Le bonheur est un hôte discret, dont on ne constate souvent l'existence que par son acte de décès.
Adrien Decourcelle
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Un des bonheurs de l'amitié c'est d'avoir à qui confier un secret.
Alessandro Manzoni
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Ne discutez jamais, vous ne convaincrez personne. Les opinions sont comme des clous ; plus on tape dessus, plus on les enfonce.
Alexandre (fils) Dumas
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La douleur de l'âme pèse plus que la souffrance du corps.
Publius Syrus
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